• Histoire/Géographie

    La rubrique dénommée Histoire, c'est l'Histoire racontée par les élèves, sous forme d'articles ou d'exposés, avec du texte et des photos.

  • Aujourd'hui je vais vous presenter l'Amerique indienne car je vous ai deja parler des capteurs de reves qui viennent de la bas creer par les indiens.

    Les Amérindiens, ou Indiens d'Amérique (parfois; par erreur, Indiens tout court, les Indiens étant les habitants de l'Inde), ou encore Américains natifs, comme revendiqué par certaines peuplades, sont les habitants d'Amérique avant la colonisation européenne des Amériques.

    L'ethnonyme Amérindien dérive d'Indien d'Amérique. Il a été inventé à la suite de l'erreur de l’explorateur Christophe Colomb qui, en 1492, pensait avoir atteint le sous-continent indien lorsqu’il débarqua en Amérique. C'est dans ce contexte que les Européens ont nommé ce territoire les Indes occidentales, pour les différencier de celles dites orientales (qui donna aussi son nom à différentes entités coloniales européennes nommées Compagnie des Indes orientales). À cause de cette confusion, on continue d’utiliser le mot « Indiens » pour parler des populations du Nouveau Monde. Avec les travaux du cartographe Martin Waldseemüller au début du XVIe siècle, on commence à parler de « continent américain », en mémoire du navigateur italien Amerigo Vespucci ; ses habitants sont alors désignés sous le nom d'« Indiens d’Amérique » pour les distinguer des populations de l’Inde sans modifier complètement l'usage de les désigner comme des Indiens.

    En l’absence d’appellation qui fasse consensus, on utilise parfois les expressions de « peuples autochtones » ou « aborigènes », ou plus précisément, « Premières nations » ou « Premiers peuples » (traductions littérales de l'anglais). L'expression « Peaux Rouges » est ancienne et n'est plus beaucoup utilisée en Amérique. Le géographe grec Pausanias le Périégète aurait décrit une terre située au-delà de l'océan Atlantique, qu'il nomme terre d'outre-océan, peuplée par des "hommes à peau rouge, à chevelure noire et raide comme le crin d'un cheval"4,5

    On parle aussi de « peuples précolombiens » pour les territoires américains de l'Empire colonial espagnol, qui incluent la Mésoamérique et la cordillère des Andes. En anglais, au Canada comme aux États-Unis, on utilise les expressions « Native Americans » (« Américains d'origine »), « American Indians », « Native peoples » (« peuples d'origine »), « First Nations », « First Peoples », « Aboriginal Peoples ». Toutefois, ces termes politiquement corrects sont souvent rejetés par les intéressés qui préfèrent être appelés en fonction des noms originels de leurs peuples.

    Au Québec, le terme « autochtone » est de loin le plus courant, à côté de « Premiers peuples », et « Premières Nations »6 quand cela concerne des revendications territoriales ou spécifiques. Dans le contexte québécois le terme englobe également les Inuits, qui ne sont pas des Amérindiens et les Métis reconnus.

    En Guyane, on parle d'« Amérindiens » répartis en huit ethnies.

     

    Au Mexique, on préfère dire « indígena » (« indigène ») qu’« indio » (« indien »), qui prête à confusion avec les citoyens de l'Inde et qui est ressenti comme une insulte.

    La concurrence nationaliste entre les pays d'Amérique du Nord, et plus particulièrement entre le Mexique et les États-Unis, qui se sont disputé la suprématie sur le continent américain jusqu'à la guerre américano-mexicaine, ont suscité des traditions historiques différentes et une distinction devenue commune entre les groupes amérindiens établis en Mésoamérique (y compris parfois certains d'Oasisamérique et d'Aridoamérique) avec les groupes établis plus au nord. Les recherches archéologiques, historiques et anthropologiques ont pourtant établi qu'il existait des échanges culturels entre ces différentes aires culturelles qui, de ce fait, s'influençaient mutuellement et partageaient certains traits culturels.

    Entre le sud de l'Amérique du Nord et le nord de l'Amérique centrale, les Mésoaméricains ont développé de véritables civilisations, tant dans la construction des villes que par l'écriture ou la connaissance astronomique. Parmi les principales ethnies, on peut citer en particulier les Olmèques, les Mayas, les Tarasques, les Mixtèques, les Zapotèques, les Huaxtèques, les Totonaques et les Nahuas (dont les Aztèques).

    Les Chibchas (aux confins de l'Amérique centrale et du Sud), les nations Quechuas, la nation Aymara, les Mapuches, Peuples d'Amazonie, peuples Patagons. Les derniers Amérindiens contactés hors du bassin amazonien (en 2004 dans le Paraguay occidental) sont les Totobiegosodes (ou Ayoreo-Totobiegosode) dont le territoire forestier est illégalement et rapidement détruit par deux compagnies forestières brésiliennes (Yaguarete Porá SA et River Plate SA) au moins depuis mai 2008 selon Survival International qui a alerté l'opinion internationale sur ce fait en novembre 2008. Les Tobiegosodes avaient déjà perdu 6 000 hectares de leur forêt au profit des éleveurs de bétail en 2007.

     

    Les spécialistes ont dans un premier temps pensé10 que l’arrivée des premiers hommes en Amérique remontait à 12 000 ans environ, mais des découvertes archéologiques récentes feraient remonter les premières migrations à plus de 40 000 ans. Venant de Sibérie, ils auraient traversé le détroit de Béring, alors au-dessus du ligne de rivage maritime en période glaciaire (voir Béringie). Après une période d'habitation en Béringie, et après la disparition des masses glaciaires d’Amérique du Nord, ils auraient pu continuer la colonisation du nouveau continent11.

     

    D’autres théories parlent de peuples océaniens ayant traversé l'océan Pacifique (théorie exprimée par Paul Rivet), ou encore de peuples européens (hypothèse de l'archéologue Dennis Stanford confirmée aujourd'hui par une analyse d'ADN12). On estime en effet qu'une peuplade serait venue d'Europe entre 12 000 et 36 000 ans ; elle correspondrait aujourd'hui à un groupe très restreint d'autochtones que sont les Ojibwés, les Nuu-Chah-Nulth, les Sioux, et les Yakamas.

     

    On notera cependant des découvertes qui remettent en cause le schéma général de la colonisation de l'Amérique par les Amérindiens. Certains spécialistes pensent que le peuplement du continent américain n'a pas une seule origine :

    • Un squelette entier de type europoïde, l'homme de Kennewick, datant de plus de 9 000 ans a été découvert dans l'État de Washington en juillet 1996, sur les bords de la Columbia14.
    • Les ossements de la Femme de Peñon (environ 13 000 ans), découverts près de Mexico présentent aussi des caractéristiques europoïdes.
    • Des momies furent exhumées sous plusieurs mètres de dépôts de guano dans la caverne de Lovelock en 1911 par des exploitants-récolteurs. Elles étaient du type europoïde. Elles furent datées d'environ 5000 ans par l'analyse au radiocarbone 14. D'autres furent découvertes en 1931 de même type non loin de la caverne de Lovelock.
    • 75 crânes, dont le crâne de Luzia, ont été mis au jour au Brésil15,16 datés de près de 35 000 ans, soit plus que le site de Clovis, au Nouveau-Mexique, considéré jusqu'alors comme le plus ancien du continent ; ils sont d'aspect africain ou aborigène australien.
    • 250 crânes et squelettes du site de Cerca grande, sont âgés de 9 000 ans à 1 000 ans et sont également de type mélanésien et africain.

    L'autre question problématique est celle de la date du peuplement. Là encore, le travail des archéologues semble repousser l'origine du peuplement à des époques plus anciennes qu'on ne l'a longtemps cru :

     

    • En 2005, dans une ancienne carrière située près du volcan Cerro Toluquilla (Puebla au Mexique), des traces humaines vieilles de 38 000 ans ont été découvertes par une équipe britannique sur une couche de cendres fossilisées.
    • Sur le territoire des États-Unis, l'homme de Folsom trouvé au Nouveau-Mexique aurait 20 000 ans. En 1997, l'analyse au carbone 14 de fossiles amérindiens trouvés en Virginie les fait remonter à 17 000 ans avant J.-C. Les Algonquins seraient apparus il y a 4 500 ans. Des traces de maisons en rondins iroquoises sont attestées pour le Xe siècle av. J.-C.
    • L'utilisation de l'écriture, par opposition à la tradition orale, est habituellement la ligne de démarcation entre l'histoire et la préhistoire17 et les années 1500, époque des premiers contacts, représentent plutôt cette ligne séparatrice. Il faut donc adapter constamment le concept de « vérité historique », car les autochtones contemporains fondent une bonne partie de leurs revendications sur cette antériorité historique, sur la période que l'on qualifie habituellement de préhistorique.

      L'histoire, chez les peuples indigènes des Amériques, se transmettait le plus souvent oralement, même si l'usage de supports mnémotechniques plus ou moins semblables à des systèmes d'écriture furent développés en Mésoamérique (codex) et dans les Andes (quipu). Légendes, contes, aventures de chasse et faits historiques ont voyagé à travers le temps et se sont transformés dans la bouche des conteurs. Contrairement aux historiens contemporains, les Inuits et les Amérindiens accordent à la valeur mythique et symbolique des événements, dans le cadre de leur conception cyclique du temps, une place plus importante que l'exactitude des lieux, des dates et des acteurs. Ces différences perceptuelles de l'histoire n'ont pas toujours facilité les relations passées et présentes entre les Amérindiens et les allochtones.

    L'arrivée des Européens au XVe siècle a bouleversé la vie des peuples d'Amérique. Parmi les centaines de nations qui peuplaient les deux continents, beaucoup ont totalement disparu : elles ont été décimées (voir l'article Histoire démographique des Amérindiens), déportées, acculturées et pour certaines, réduites en esclavage.

    La population amérindienne sur l'ensemble du continent est passée, selon les estimations, de 10 à 100 millions d'habitants lors de la « découverte » de l'Amérique par Christophe Colomb à 4,5 millions un siècle et demi plus tard, pour remonter à 47 millions aujourd'hui18.

     

    Quelques historiens, comme Félix Reichlen ou Éric Joly, estiment de nos jours que ce que certains appellent le génocide amérindien par les colons a entraîné la mort d'environ 43 millions de personnes19.

    Au Mexique, Hernán Cortés débarque à proximité de Veracruz en 1519 ; il est tout d'abord bien accueilli par Moctezuma, empereur aztèque. Les Espagnols entrent dans Tenochtitlan le 8 novembre 1519. Mais le 30 juin 1520, ils sont chassés par une révolte de la population. Cortez, soutenu par les autres peuples amérindiens, remporte la bataille d'Otumba le 7 juillet 1520 et vient assiéger la capitale qui finit par tomber le 13 août 1521. Le dernier empereur, Cuauhtémoc, fait prisonnier pour éviter une nouvelle révolte, est exécuté vers 1524-1526, tandis que Tenochtitlan est rasée pour laisser la place à Mexico.

    Lorsque Pizarro arrive au Pérou en 1532, il est perçu comme un dieu. Il enlève l'empereur Atahualpa et encourage la révolte des peuples soumis aux Incas. L'empire se morcelle et l'empereur est finalement exécuté par les Espagnols en 1533. Les conquistadors contrôlent le territoire inca au milieu du XVIe siècle, même si des résistances ont encore lieu. La formation de l'Empire colonial espagnol s'accompagne de pillages, de maladies nouvelles qui font des ravages, de la famine, de l'asservissement des Amérindiens dans les encomiendas et de l'évangélisation de la population.

    Le 16 avril 1550, Charles Quint ordonne d'interrompre les conquêtes du Nouveau Monde pour des raisons morales. Le débat qui s'ensuit, confié aux théologiens verra les fameuses joutes de Bartolomé de Las Casas et Sepulveda lors de la Controverse de Valladolid. À son issue, l'Église catholique romaine réaffirme l'opposition à l'esclavage des Indiens qu'elle avait déjà exprimée par les bulles Veritas ipsa (2 juin 1537) et Sublimis Deus (le 9 juin 1537) dans lesquelles Rome condamnant l'esclavage des Indiens avait affirmé leur droit, en tant qu'êtres humains, à la liberté et à la propriété mais l'Église ne condamna pas, dans le même temps, l’esclavage des Africains.

    En 1556, la terminologie change, « Conquista » est officiellement remplacé par « descubrimiento » (« découverte »), et « conquistador » par « poblador » (« colon »).

     

    Les Amérindiens étaient utilisés pour exploiter les ressources en Amérique du Sud (sucre, rhum, café, etc.). Les Espagnols récoltaient ces ressources, qu'ils exportaient en Europe. Les Espagnols partaient d'Europe avec des marchandises (armes, tissus, métaux en lingots , etc.), qu'ils échangeaient en Afrique contre des esclaves qu'ils transportaient en Amérique de sud pour exploiter les ressources. Ce système se nomme le «commerce triangulaire »20.

     

    La démographie historique estime qu'une majorité d'Amérindiens sont morts à la suite des maladies infectieuses introduites par les Espagnols, contre lesquelles les Amérindiens n'étaient pas immunisés. Le processus a commencé dès les années 1500 et les épidémies de variole (1525, 1558, 1589), de typhus (1546), de grippe (1558), de diphtérie (1614), de rougeole (1618) ou encore de peste bubonique (1617-1619, en Nouvelle-Angleterre) ont décimé des millions d'indigènes.

    Le bilan de ces épidémies est cependant difficile à donner avec exactitude. Les sources sont insuffisantes et les historiens ne sont pas d'accord sur les estimations. À la fin du XXe siècle, notamment à la suite de recherches publiées en 196621, les historiens ont favorisé les estimations hautes22, qui calculent un taux de mortalité, selon les régions, compris entre 50% et plus de 95 % de la population amérindienne23,24.

     

    Depuis 1968, on assiste au réveil politique et culturel des Amérindiens et des métis :

     

    • des manifestations d'Amérindiens ont lieu lors de la Thanksgiving, en souvenir des Amérindiens qui ont été progressivement oubliés dans cette fête d'action de grâce ;
    • reconnaissance par l'ONU ;
    • participation à de nombreux mouvements internationaux: ATTAC, ...
    • participation politique : en Bolivie, au Mexique, au Canada, au Venezuela[réf. nécessaire], en Équateur ;
    • au Mexique, des actions armées en 1994 ont également été menées au Chiapas par l'EZLN au nom de la lutte pro-indigène ou pour la reconnaissance des droits fondamentaux des cultures indigènes chiapanèques (qui représentent moins du 1 % de la population totale du pays) et qui pose problème car tous les Mexicains sont égaux devant la loi de par la Constitution mexicaine de 1917 issue de la Révolution. Tous les indigènes ne sympathisent pas et n'adhèrent pas avec ce mouvement resté très marginal et sans résultats significatifs jusqu'à maintenant ;
    • en 1990, une loi fédérale américaine, The Native American Graves Protection and Repatriation Act (NAGPRA), exige que les biens culturels amérindiens soient rendus aux peuples natifs quand ces biens ont été déterrés. Cette loi autorise néanmoins les équipes d'archéologues à analyser les découvertes mais dans un délai de temps très court. Par biens culturels, la loi désigne les restes humains, les objets funéraires et sacrés, et tout objet et artefact du patrimoine amérindien. Bien que cette loi fédérale fut rendue nécessaire pour mettre un terme aux pillages de sites historiques, les archéologues et chercheurs américains accusent cette loi de restreindre gravement la recherche archéologique sur les origines des premiers habitants des États-Unis. Le cas de l'homme de Kennewick est symptomatique, les tribus amérindiennes demandant le retour sur leurs terres respectives de ce squelette dont l'étude a révélé une origine caucasienne ou europoïde ;
    • le 19 décembre 2007, les Indiens sioux rompent les traités signés avec les États-Unis, par la voix de leur dirigeant Russell Means qui accuse les États-Unis d'avoir « violé maintes fois (le traité) afin de voler notre culture, notre terre et nos coutumes ». Il poursuit ;« Nous ne sommes plus citoyens des États-Unis d'Amérique et tous ceux qui vivent dans les régions des cinq États que comprend notre territoire sont libres de nous rejoindre », lors d'une conférence de presse à Washington. Il a précisé que des passeports et des permis de conduire seraient délivrés à tous les habitants du territoire s'ils renonçaient à leur nationalité américaine.

     

    Certains[Qui ?] avancent un bilan de 10 millions de victimes indigènes sur l'ensemble du continent américain ; d'autres[Qui ?] pensent plutôt à 90 millions, dont 10 pour l'Amérique du Nord. Si l'on prend les données d'Anne Garrait-Bourrier et Monique Venuat (voir la bibliographie), le continent américain entier (de l'Alaska au Cap Horn) abritait environ 50 millions d'habitants en 1492 ; pour comparaison, il y avait 20 millions de Français au XVIIe siècle. Pour le territoire des États-Unis d'aujourd'hui le recensement de 2005 donne une population d'amérindiens de 2 821 311 habitants répartis sur les 50 états, l'Arizona venant en tête avec 300 288 amérindiens. Environ 500 000 Amérindiens peuplaient la côte est de cet espace. Ils ne sont plus que 100 000 au début du XVIIIe siècle. Dans l'empire espagnol, la mortalité des Amérindiens provoquait de tels ravages qu'ils durent aller chercher des esclaves en Floride pour pallier le manque de main d'œuvre en Amérique du Sud.

    Exemples parmi d'autres des ravages qu'ont causés ces pandémies :

    Les Timicuas, en Floride, qui en 1650 étaient 13 000 répartis sur 40 villages, ne furent après une épidémie de petite vérole que 35 en 1728, regroupés dans un seul hameau.

    Les Wampanoag qui occupaient le territoire de l'actuel Massachusetts furent emportés jusqu'au dernier en 1617, trois ans avant l'arrivée des premiers colons débarqués du Mayflower qui fonderont Plymouth.

     

    Dans l'empire espagnol, les Amérindiens furent également victimes des meurtres massifs, des guerres et du travail forcé (mines d'argent, portage, etc.)25. Certains estiment, contrairement aux chiffres d'Anne Garrait-Bourrier et Monique Venuat, qu'avant l'arrivée des Européens, le Mexique central comptait 25 millions d'habitants. Il ne restait plus qu'un million d'indigènes vers 1650


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      L 'Europe

    par Théo CREPY-BANFIN

     

     

    L'Europe est un continent dont les pays fondateurs sont :

    -la France

    -la Belgique

    -l'Allemagne

     -les Pays- Bas

     

    Quelques pays qui en font partie :

    • l'écosse

    • le Pays de Galles

    • l'Angleterre

    • l'Irlande du nord

    Qui forment :

    - la Grande Bretagne

     

     

    -l'Allemagne

    -la France 

    - la Belgique

    -les Pays Bas

    -la Finlande

    -ETC,,,,,

     

    Dans l'Europe il y a une zone appelée 'ZONE EURO'

    Quelques pays qui font partie de la zone euro:

    -la France

    -l'Italie

    -l'Irlande

    -l'Espagne

    -le Portugal

    • la Grèce

    • Chipre

    • la Finlande

    • l'Estonie

    • la Lettonie

    • la Littuanie

    • ETC,,,,,,,,,,,

       

       

     

    Voici une carte de France avec les départements et le drapeau français en fond

     

    L'Europe, par

     

     

    L'ancienne Italie

     

    • Savez- vous que avant en Italie on parlait latin mais maintenant le latin est une langue morte, Aujourd'hui on y parle italien,

    L'île représentée en rouge est appelée Sicile

    L'île représentée en blanc est appelée Sardaigne

     

     

    L'Europe, par

     

    Source : Site internet « Europa »

     


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    La Première

     

    guerre mondiale

     

     

     

    par Tony ;) et Théo

     

     

     

    Ces pays forment la triple entente (les alliés):

     

    -la France

     

    -le Royaume-Uni

     

    -et la Russie

     

     

     

     

    Pour la triple alliance:

     

    -l'Allemagne

     

    -l'Autriche-Hongrie

     

    -et l'Italie

     

     

     

    La guerre s'est passée en 1914 et elle s'est finie en 1918.

     

     

     

    La guerre mondiale s'est formée à cause de la mort de l'archiduc François Ferdinand

     

    en Autriche-Hongrie à Sarajevo c'est un serbe qui la assassiné !!!

     

     

     Les poilus vivaient dans les tranchées

     

    Il y avait beaucoup de blessés mais à un point que vous n'imaginez pas 

     

     

     

    En 1916 il y a une ville ou il y a eu le plus la guerre:

     

    -c'est Verdun

     

    Des villes atteintes par la guerre les familles avaient des rations pour survivre:

     

     

    La bataille de Verdun:Le 21 février 1916 , les allemands lancèrent une attaque massive sur Verdun, les français ne s'attendant pas à l'arrivée des allemands sur un secteur neutre les allemands prirent quelques places fortifiées, mais les français résistent pendant tout l'été, défendant le territoire nationale avec passion. En décembre,ils avaient presque repoussé l'ennemi dans leur territoire initiale. Mais des deux côtés,les pertes furent énormes : plus de 400 000 de morts et de blessés chez les français et plus de 330 000

     

    chez les allemands.

     

     

     

     

    Sources :

     

    Livre : La première guerre mondiale, Gallimard Jeunesse

     

    Sites : Magic.com et autres sites

     

     

     

     

     


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